Primum non nocere
Séminaire architecture et care, année 5 : les daseinsarchitecturesAnimé par Eric de Thoisy, avec le soutien des hôpitaux de Saint-Maurice Le 10 octobre 2024Avec Nicola Delon, architecte, cofondateur du collectif Encore Heureux.
L’authenticité en dialogue
Précédent Suivant Journée d’études organisée par l’Ecole française de DaseinsanalyseAvec le soutien du Cercle herméneutiqueLe 21 septembre 2024 Programme de la journéeMatinée (9h30 – 12h30)Modérateur : Philippe Cabestan, président de l’Ecole française de Daseinsanalyse. 9h30-10h30, Françoise Dastur : « Identité, culte du moi et authenticité. À propos des deux derniers livres de Claude Romano »…
Le Monde : une tribune pour rendre le Nutri-Score obligatoire en Europe
« Rendre le Nutri-Score obligatoire en Europe est une urgence de santé publique ! » Dans Le Monde, un collectif de chercheurs composé notamment de Cynthia Fleury-Perkins, titulaire de la Chaire, et Stéphane Besançon, directeur général de l’ONG Santé Diabète, signe une tribune pour demander au premier ministre de prendre fermement position au sein de…
Cynthia Fleury est la présidente du jury du concours Mini Maousse de la Cité de l’architecture
Supercabane ! : dixième édition du concours Mini Maousse organisé par la Cité de l’architecture et du patrimoine pour les étudiants en architecture, art, design, paysage et ingénierie. Bâtir une cabane est une expérience singulière : il faut accepter de faire avec ce qui est déjà là et lui donner une forme spontanée, essentielle. À…
28-29 octobre : Cynthia Fleury au colloque “Dignité et consentement” du CHU La Réunion
Parmi les intervenants, Cynthia Fleury, philosophe, psychanalyste, professeure titulaire de la chaire Humanités et Santé au
Conservatoire National des Arts et Métiers, professeure associée à l’École Nationale Supérieure des Mines, professeure titulaire de la Chaire de Philosophie à l’Hôpital.
Parution de “Philosophie et santé mentale” coordonné par Eva Liévain
La notion de « santé mentale » a émergé dans les années 1950 dans les courants de l’antipsychiatrie en vue de sortir les malades mentaux du cadre asilaire. Reste que l’usage de la notion s’est considérablement étendu à partir des années 1980, allant jusqu’à servir de mot d’ordre à de nombreux programmes politiques de santé publique, à l’échelle européenne, et même mondiale.