Nos activités sont portées autant par l’énergie pulsionnelle, qui ne va jamais sans agressivité, que par les processus de socialisation la formatant et l’orientant en des directions que la culture valorise. Ce processus de sublimation se voit contrecarré quand nos pratiques – professionnelles notamment – se plient à un carcan rigide de normes, nous contraignant à la régression vers des actes simplifiés répétitifs. Si les réponses sont politiques et institutionnelles, nous verrons que les émotions et l’imagination représentent aussi des recours possibles contre de telles contraintes antisublimatoires.