La nature comme point de repère

Avec Catherine Larrère, philosophe, professeure émérite à l’université de Paris I-Panthéon-Sorbonne, spécialiste des questions éthiques et politiques liées à la crise environnementale et aux nouvelles technologies et Raphaël Larrère, ingénieur agronome et sociologue, ancien directeur de recherche à l’INRA, il s’intéresse au rapport des hommes avec la nature et la technique. Catherine Larrère et Raphaël…

La psychologie phénoménologique Sartrienne de l’imaginaire et ses difficultés

Première séance du cycle l’image du séminaire Lire les grands textes animé et coordonné par Charlotte Geindre. Charlotte Geindre est doctorante en philosophie et psychologie, Sorbonne Université et Université Paris Cité, agrégée de philosophie, psychologue clinicienne. Pour la première communication du cycle “L’image”, Alain Flajoliet propose de lire L’Imaginaire de Sartre, et en particulier ses…

Arts, soin et résilience

Arts, soin et résilience Cette note préparatoire au programme de recherche et d’expérimentation « Humanités, arts et résilience dans la reconstruction des femmes victimes de violences sexuelles en RDC », mené dans le cadre de la Chaire de Philosophie à l’Hôpital au sein de l’Hôpital de Panzi du Dr Denis Mukwege, a été rédigée Nancy…

Appel à contribution pour la Revue française d’éthique appliquée

Appel à contribution pour le numéro 14 de la RFEA Cet appel à contribution sur le thème des “injonctions contradictoires” est une initiative de la Chaire de Philosophie à l’Hôpital. Coordination scientifique Valérie Gateau, docteur en philosophie, formatrice en éthique et chercheuse associée à la Chaire de Philosophie à l’Hôpital Nicolas El-Haïk-Wagner, doctorant en sociologie,…

Quand le récit fait soin : paroles et récits de soignants

Le burn-out est en constante augmentation dans les métiers soignants. Avec la crise de la Covid-19, la part des facteurs organisationnels dans la souffrance des soignants est devenue manifeste. Un soin soumis à des critères de performance économique et à des protocoles rigides peut miner la vocation des soignants, leurs valeurs, et affaiblir leur engagement. Ces organisations déstructurent le temps du soin, abîment le collectif, et peuvent conduire au burn-out des soignants comme au soin « dégradé » des patients.